« Nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous sommes. »
30/03/2014
29/03/2014
« Je ne sais pas pour vous mais, au
début de ma vie, il n'y avait que deux sortes de personnes dans mon univers :
celles que j'adorais et celles que je détestais. Mes meilleurs amis et mes
pires ennemis. Ceux pour qui je suis prête à tout donner et ceux qui peuvent
aller crever. Ensuite, on grandit. Entre le blanc et le noir, on découvre le
gris. On rencontre ceux qui ne sont pas vraiment des amis mais que l'on aime
quand même un peu et ceux que l'on prend pour des proches et qui n'arrêtent pas
de vous planter des couteaux dans le dos. Je ne crois pas que la découverte de
la nuance soit un renoncement ou un manque d'intégrité. C'est juste une autre
façon de voir la vie. »
Gilles Legardinier
28/03/2014
« J'ai découvert que parcourir cette
vie revient à traverser un grand fleuve. Tout jeunes, nous sommes sur la rive
et nous avons peur de nous jeter à l'eau. Puis nous passons notre existence à
nager, parfois chahutés par le courant, en direction de l'autre rive. Une seule
règle : on ne peut pas revenir en arrière. Certains nous jettent des bouées,
d'autres tentent de nous couler. Il existe aussi malheureusement beaucoup de
traîtres à leur espèce qui font la planche sur le dos des autres... »
Gilles
Legardinier
27/03/2014
« On dit souvent que les yeux sont les
fenêtres de l'âme. Les gens se caressent, se touchent, mais il faut beaucoup de
confiance pour que quelqu'un vous laisse l'observer droit dans les yeux aussi
longtemps que vous en avez envie. A ce moment-là, vous n'entendez pas seulement
ce qu'il veut bien vous dire, vous voyez ce qu'il est vraiment. »
Gilles
Legardinier
25/03/2014
24/03/2014
« Tolérer, c'est accepter du bout des
lèvres, c'est bien vouloir, c'est, de façon négative, ne pas interdire. Celui
qui tolère, se sent bon de tolérer, celui qui est toléré se sent doublement
méprisé pour le contenu de ce qu'il représente ou de ce qu'il professe et pour
son incapacité à l'imposer. L'intolérance, auto défense du faible ou de
l'imbécile, est certes une marque d'infantilisme, mais la tolérance, concession
accordée par le puissant sur de lui, n'est que le premier pas vers la
reconnaissance de l'autre ; d'autres pas sont nécessaires qui aboutissent à
"l'amour des différences". »
Albert Jacquard
23/03/2014
20/03/2014
19/03/2014
18/03/2014
17/03/2014
16/03/2014
« Car c'est de l'abondance du cœur que
la bouche parle. L'homme bon tire de bonnes choses de son bon trésor, et
l'homme méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor. Je vous le dis
: au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu'ils
auront proférée. Car par tes paroles tu seras justifié, et par tes paroles tu
seras condamné. »
Bible
14/03/2014
13/03/2014
12/03/2014
11/03/2014
10/03/2014
09/03/2014
08/03/2014
« Je suis à chaque fois ému et touché
par le spectacle des grands arbres. Qu'ils trônent dans une clairière dans le
bois des Mille ou sur le bord du chemin, d'immenses chênes ou hêtres provoquent
mon admiration. J'aime les arbres, leur instinct de vie lorsqu'ils sont jeunes
à s'élancer vers le ciel, à se faufiler entre les branches pour gagner leur
place au soleil, éperdus de lumière. Lorsqu'ils sont adultes et protecteurs,
ils dispensent l'ombre et aménagent des lieux de repos où il fait bon se poser
sur le tapis des feuilles mortes à la dernière saison. »
Bernard Olivier
07/03/2014
06/03/2014
05/03/2014
04/03/2014
« Comprendre un être qu’on aime, ce
n’est pas l’espionner : il faut que ce soit un don dans une surabondance
d’inspirations heureuses. On ne doit reconnaître que ce qui enrichit. On
dispense des qualités avec l’assurance absolue d’un accord déterminé à
l’avance, de l’impossibilité d’aucune séparation... »
Robert Musil
03/03/2014
02/03/2014
01/03/2014
« Le freudisme n’a pas seulement fait
la fortune des psychanalystes, mais aussi celle de certains critiques littéraires,
qui expliquent le génie de Dostoïevski par le fait qu’il avait reçu une gifle à
l’âge de trois ans, et la folie de Van Gogh par celui que sa nourrice n’avait
jamais voulu lui laisser téter que son sein droit. »
Woody Allen
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